• Le 20 aout 

    J'ai rêvé que je décrivais sur un bout de bois bateau dans un port au Japon. A moitié endormi, j'essayais de lui donner des instructions mais la barrière de la langue jouait contre nous. On faisaient des allez retours entre le cap et la côte, sans réussir à aller nulle part.


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  • J'ai revé de chicken run 2 , dans lequel des poulet se cachent collectivement dans un appartement parisien, sauf que l'appartement en question ressemble a une grand verriere au vitre sale et les gens passent a l'exterieur et arrache les rideaux. On a peur d'etre vu et mangé en tant que poulet donc on se cache dans des coins. Heureusement il y a un gentil cowboy qui nous aide a faire comme si. Il est joué par margo et sa performance est incroyable. J'écris sa page Wikipedia en pensant bah quand même margo elle mérite une page Wikipedia


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  • J'ai rêvé de la vraie fin de l'attaque des titans. Il ne reste vraiment pas grand monde, mais après le désastres iels arrivent à trouver le meilleurs de l'humanité, les bonnes raisons d'être là. Je ressent une grande joie, mais impossibles de me souvenir des details. 


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  • Nuit très fiévreuse, je rêve que je suis mort et traversé par une cacophonie de vie et de pensé.
    Je suis un arbre mort plein de termite.
    Je suis heureux.


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  • Je dort, mal, dans une sorte de tente à même le sol sur un matelas, sauf que plutôt que d'une tente il s'agit d'une maison dont les murs sont des bâches mal fermée


    Pas très loin de moi il y a une boite en carton qui contient tout mes souvenirs.


    L'eau monte pendant la nuit et imbibe le matelas et le cartons de mes souvenirs qui se remplis d'eau et de grenouilles. 


    C'est perdu

    Je me rendort dans un recoin sec, puis je me réveille


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  • Je rêve que je suis en Russie pour voir un groupe d'amies, on traine dans une sorte de galerie commerçante sans limite.
    Petit à petit elle retournent vaquer à leurs occupations, et je commence à essayer de rentrer en cherchant l'aéroport sur mon téléphone, mais le mot en lui même est impossible à écrire, il a disparu, je l'écris et il se transforme en reaportant, en horpantomant, c'est un mot interdit. 
    Je ne peux plus partir, et je panique dans les couloirs bondé de la galerie commerçante russe.

    Des gens me rentrent dedans et je ne sais même pas comment m'excuser.

    Je finis par arriver à une extrémité. Au loin, d'autre galerie commerçante. 
    Il y a un père qui fait dormir des sacs de couchages sur le sol avec ses enfants à l'intérieur. On les entend respirer 


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  • Nous entrons dans un hall d'immeuble abandonné pour aller rendre visite à un ami, mais le hall nous retient.
    Au milieu des toiles d'araignées un enfant seul nous regarde dans les yeux.
    Je crois qu'il veut manger une glace à l'italienne parfum vanille, mais il ne peut pas et sa colère se venge sur nous et nous retient dans le hall d'immeuble abandonné pendants des années,  et des années et nous nous momifions lentement dans les toiles d'araignée du radiateurs, sans que l'enfant ne cesse ne nous fixer droit dans les yeux. 
    Des années plus tard nous rentrons dans le même hall d'immeuble pour subir le même sort, encore et puis je me réveille.  


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  • On est coincé dans une espèce d’aire de pique nique d’autoroute, dont le ciel n’est ni bleu ni gris mais n’existe juste pas. Il y a tout le protocole d’une fête, mais sans l’ambiance. Alors qu’elle descend les escaliers je reproche à ma mère de n’être jamais qu’à moitié là. Elle me répond qu’elle est morte, ce qui est vrai.


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  • J'ai passé la nuit dans cette structure. J'était coincé dans dans les tours sur les coté et j'essayait d'entrer dans les allés lumineuses au milieu. Il y avait toujours un trucs qui gênait, quelqu'un qui me voyait entrer ( Je crois que j'était nu), ou parfois juste quelque chose en moi qui me retenais et me ramenait avec les crabes et le béton.


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  • Je suis invité à la maison de campagne de mon amoureuse. Elle est très proche d'un de ses frère, je suis un peu jaloux. Je parle avec lui un peu. C'est un géant presque, et je suis allongé sous lui, il me fait un peu peur. Il se penche sur moi et se met à pleurer sur mon cou. Je lui tape sur l'épaule, il me fait de la peine. Son visage géant, son menton, ses yeux, tout pleure.

     


    Je retrouve mon amoureuse à la piscine. Elle m'invite à plonger mais je ne j'y arrive pas.


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  • Je travaille comme serveur dans un restaurant à Tokyo. Je suis débout entre les tables aux nappes blanches, sans très bien savoir quoi faire. On me crie dessus. Je part me changer au sous sol, dans une salle immense pleine de rangées de vestiaire de piscine. Je vais en allée 0. Un homme rentre quand je suis en maillot de bain. Il a un visage en plastique, qui ne bouge pas quand il parle, je le vois de très près. Il me fait peur. Quand il a finit de me raconter sa vie, il s'en va. Je lui dit de faire attention à ne pas devenir trop seul, c'est facile à Tokyo.
    D'un coup, tout le monde sort de son vestiaires et arraches mes vêtements posée dans le vestiaire. Je me débat pour en garder un peu, et au bout d'un temps, ça s’arrête. 


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  • Un vieux rêve 

    Une sorte de présidents russe vient de détruire la moitié de l'humanité avec des volcans pour assurer la richesse à la moitié restante. Je vois les coulée de lave engloutir les cartes.

    On essaye de rentrer à l’hôtel mais on ne le trouve pas, jusqu’à remarquer une pancarte expliquant que la réception est fermée pour l’éruption. Il y a une enveloppe avec des consignes et des conseils, comme celui de ne pas regarder d'image du massacre en cours, pour ne pas s'attrister inutilement.


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  • Ce sont des fragments d'un rêve fait en prenant un avion vers Berlin en 2019. Ma mère est à coté 

     

    Une plante d'un vert très clair avec une tige rouge comme un fil de laine 

     

    mon père met les pieds sur la table en portant des chaussures roses à fleurs roses 


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  • On est dans un bar et il y a plusieurs personnalités politiques américaines qui gueulent à leur table. Donald Trump vient nous voir. Il a l'air très abattu et il pleurniche un peu, ça me fait de la peine, sincèrement.
    Il demande s'il a vraiment perdu, le visage rouge à moitié dans l'ombre bleue, en regardant dans le vide.


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  • C'est un vieux rêve 

    On marche et l'on discute en sortant de la prison. Il parle de façon très crue d'un mélange de sexe et de maladie. Les terrains vagues aux grillages déchirés sont peuplé d'herbes folles trop froide et trop bleue qui fascine mon regard. Le vent passe loin d'elles
    Je suis une petite fille blonde dans un train qui rencontre un monstre gentil. Ensemble nous affrontons un gouvernement fasciste représenté par des avions de la seconde guerre mondiale. A chaque étape un groupe d'amis dans une voiture jaune nous ravitaille en déversant dans nos bols , et une personne dans un guichet nous cache.
    a la dernière étape, la personne me rend mon téléphone, perdu en prison. On chuchote qu'elle me ressemble en plus âgée, c'est peut être moi, ou ma mère ?

    Je vais au toilette. Je suis une petite fille blonde avec un pénis ? 


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  • J'ai rêvé qu'un enfant nourrissais un serpent géant qui sortait des tuyaux tout les soirs, sans que sa mère (divorcée évidement) ne l'apprenne. Il lui faisait un soufflé au sang tout les soirs.


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  • Ma grand mère fait un AVC. J'essaye désespérément de lui faire un massage cardiaque, sans vraiment réussir. Elle se redresse et commence à se foutre de ma gueule :"je sent rien, tu sais où c'est le cœur au moins ?"


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  • On marche sur un trottoir la nuit, Il fait chaud, je crois que je suis en Algérie. A ma droite il y a un robot bipède qui marche en dandinant et ramasse des objets avec sa prothèse magnétique. Je me glisse entre les barreaux jusqu'a la route. Des kangoo passent à tombeau ouvert, très proche de mon visage, elles font voler des aiguilles de pins. c'était la police

     

     

    plus tard je suis coincé dans une maison. Il y a trois espace, un bleu et un jaune et un que j'ai oublié. Je ne peux pas monter à l'escalier jaune en bois, il est trop étroit pour y passer ma tète. Le bleu est une chambre avec une sorte de prisonnier. Quelqu'un manque, d'essentiel, et la scène tourne en rond à cause de ça. Je passe tout les jours devant un chien. Ou un téléphone ? En fait, cette personne était dans le chien. Ou le téléphone ? Il est révélé dans la chambre bleu, par un autre chien, ou un autre téléphone ?,

    Ils tombent amoureux. 


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  • On est quelque part dans un train au japon. Il y a un homme assis qui parle très fort au téléphone. Il parle de casser la gueule de son interlocuteur. Je fait la traduction en sortant, Mais j'ai perdu mon groupe, je les poursuis en aspirant une assiette de nouille puante. On se retrouve à coté d'un lac artificiel. Il y a de la brume. IL me regardent tous, ils ont faim et je suis un poulet apparemment . Je me fais mettre en pièce sur fond rouge 


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  • Je suis quelque part en Italie dans un village en marbre très escarpé. Je ne sais pas ou dormir et pour un instant ça m'angoisse. J'arrive à la place centrale, on voit une église sur la montagne, avec vertige, comme si elle était constamment en train de subir un travelling compensé, et qu'on allait tomber en la suivant. Je rentre dans un café . Le village s'appelle S, et le chiffre 5 se répète obsessionnellement dans ma tête en rouge. La patronne est très sympathique, elle passe de l'autre coté du comptoir pour m'offrir des cocktails de toutes les couleurs qu'elle boit cul sec.

    Bien plus tard, je reviens au café du S avec des amis pour leur montrer, mais rien n'est pareil évidement 


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  • Je suis dans le nouvel appartement d'un couple d'amis . Il fait très sombre. On me fait traverser un couloir plein de grandes statues obscènes en pâte à modeler rose, jusqu'à arriver en face d'une statue plus grande, en forme de collerette, éclairé par le haut. Mon ami m'explique qu'elle représente la puanteur du monde, ou quelque chose comme ça. L'ombre projeté par l’éclairage forme une tache de peinture visqueuse au sol sous la statue, en regardant mieux il y a tout une foule de personnage difforme en animation stop motion là dessous. Il vivent les uns sur les autres, le regard plein de haine. Peut être des microbes ?
    Sur le balcon j'explique à mon ami que j'ai envie de mourir.

    Plus tard, je marche dans la rue. Il y a des tunnel d'échafaudages recouvert de bâches plastique bleu. Le vent venu du ciel bleu passe au milieu et les anime d'un mouvement en vague, très lent, comme un nuage. Je ne peux pas m’empêcher de crier "c'est beau, beaucoup trop beau"


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  • J'ai rêve qu'en marchant dans la  rue devant chez mes parents, je croisait une vache. Elle était grande, au pas traînant et prédateur. Elle a un visage et un sourire très grand avec des dents en rectangle. Je me souviens de ses poils sur la bosse de son dos, couleur de broussaille, coupé au milieux par une ligne plus sombre dont le tracé rappelle une crête de montagne. Je marche en parlant avec un ami et je crois qu'elle me suis, sans que j'arrive à la voir au milieux de l’œil. J'escalade une colline et je sais qu'elle nous poursuis en sautant sur des galets géants. J'ai sauté en prenant appuis sur un rocher, ou sur sa bosse, et je suis suspendu dans le vide


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  • J'ai rêvé que je participait à un tournoi intergalactique, mais un peu contre mon gré. De planète en planète, on m'installait dans une pièce sombre pour que je gagne. J'en ai eu marre, alors on me dépose sur une plage sur une planète. Je me souviens précisément de la sensation du sable et de l'eau, étrangement proche par ce que l'eau était granuleuse pour de l'eau, et le sable liquide pour du sable. En sortant la tête hors de l'eau vers l’intérieur des terres je me pose la question de l’altérité de cet endroit, et je vois les téléporteurs qui me ramènerons là haut.
    Subitement, il y a beaucoup de monde. Je pensais rentrer, mais un sympathique étranger me le déconseille. En fait, maintenant que j regarde mieux, ce ne sont pas des téléporteurs mais de gros mixeurs, ce qui est inquiétant. Je marche avec mon ami nouveau qui me raconte un peu ce qu'il se passe (j'ai oublié). On entre dans un magasin (atmosphère grise) et il commence à se servir. Je met un shampoing dans ma poche. On essaye de sortir mais un vigile arrive et remarque l'absence de ce shampoing. Je crois que je m'en suis sorti en développant une calvitie ultra rapide, mais les détails sont flous.


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  • J'ai rêvé que je faisais une pizza pour mes petit pote de Poudlard. Une tomate très juteuse au centre de la pâte, des courgettes, des morceaux de mascarpone que je réparti en picorant avec la main, et une fondue d'aubergine par dessus le tout. Je crois que je l'ai mangé sans mes petit pote de Poudlard


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  • Le rêve tournait autour de trouver chez soi. Il commence par une conversation avec un amis dont j'ai oublié les enjeux, ensuite je reçois une lettres d'une autre amie. Elle est très enthousiaste à propos de la grève et elle veut que l'on voyage en Allemagne, au source du syndicalisme ! 
    Je reçoit sa lettre dans un champ, en été, vu de très loin . Dans le même champ, mais plus haut, le film commence. C'est le château dans le ciel, mais le titre est différent, quelque chose comme "ici chez nous" ou "trouver chez soi". Je le trace moi même, du bout du doigt, en grande cursive de cuivre doré qui mutent à la fin de mon mouvement en flaques vertes et vivace qui s'écrasent au sol. Non sans mon aide, elle se tordent et amalgament avec frénésie la matière alentour, à l'exception d'un homme (ou d'une femme) en manteau rouge, qu'elle ne peuvent que bousculer et faire rouler comme une aiguille de pin entre le pouce et l'index.


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